Les 5 objectifs de la Chargée de Mission

 

 

ÉCONOMIE INTERNATIONALE

Être force de proposition au niveau européen, restant compétitif tout en gagnant des parts de marchés durables. Montrer les capacités de la France à intégrer dans les différentes activités socioéconomiques du pays : 1) les exigences nouvelles en matière de bien-être Animal plébiscitées par l’Europe[1] ; 2) le partage d’une vision commune passant par une stabilité des normes, une harmonisation nouvelle des aides aux pays membres et avantages fiscaux aux producteurs et PME.

 

 

ÉCONOMIE NATIONALE

Dynamiser l’Economie française en épousant le bien-être Animal en amont des process d’exploitation des Animaux implique une mise en exercice de normes agrohumanistes valorisant et soutenant les producteurs sur un marché fortement concurrentiel[2] tout en regagnant la confiance des consommateurs. Soutenir financièrement avec pédagogie/prospective nos filières vers une transformation de leurs process. Accompagner la transition agricole vers une agriculture alternative soucieuse du bien-être Animal, la mettant en avant comme atout majeur de compétitivité nationale et internationale.

 

 

LÉGISLATION

Structurer le cadre législatif ayant trait à la définition du bien-être Animal afin de canaliser le mouvement sociétal fort et permettre à tous les acteurs de la vie économique et sociale françaises de poser des bases solides dans leurs rapports socioéconomiques aux Animaux.

 

 

ÉDUCATION

Répondre à une exigence forte des français de traduction de la sensibilité Animale en des gestes du quotidien respectueux et ce, au travers d’une dispense généralisée dès le plus jeune âge à tous les français des informations permettant une meilleure vie commune avec les Animaux dans une société en évolution constante.

 

 

SOCIÉTAL

Rassurer et impliquer une population française dont l’intérêt grandissant pour la question de la place de l’Animal dans notre société a un impact sur l’économie française au travers d’une consommation militante fluctuante.

 

 

[1] Eurogroup for Animals Press Release, 15 mars 2016 “Eurobarometer shows citizens want a Europe that acts for Animals”.  

[2] Audition du sénateur Jean Bizet : « alors que l’Autorité de la concurrence considérait que le marché pertinent des abattoirs bretons était de 300 km en 2010, deux ans plus tard, ils sont asséchés par la concurrence des abattoirs allemands et les porcs font 1 500 km avant d’être abattus. »  Rapport sur la « Proposition de Résolution Européenne sur l’Avenir de la Politique Agricole Commune après 2020 » de Mme Karine Daniel. Février 2017.

 

 

 

Version imprimable | Plan du site
© Canis Ethica, Pour une éthique dans la relation Homme-Animal