Pour une absence de cruauté dans les pratiques d'élevage

Changer brutalement excite les peurs et renforce les résistances alors que partir de l'existant et chaque jour évoluer un peu plus, tendant vers le respect du vivant, conduit petit à petit à de grandes et durables transformations.

 

Canis Ethica propose un logiciel simple, s'appuyant sur un systéme informatique et une infrastructure existants pour protéger les vies de millions de chiens de race, de type et croisés de pratiques d’élevage abusives, cruelles, génératrices de souffrances inutiles.

 

Le logiciel

 

 

Il ne pourra pas y avoir un gendarme derrière tout marchand illégal de chiens.

Le Chien, un être vivant, doté de sensibilité, d’affectivité, très proche de l’homme est un produit dans une filière. Cette caractéristique met la notion d’éthique au centre des préoccupations.

 

La filière canine en 2014 en chiffres :

_ 7,26 millions de chiens soit 1,29 chien par foyer français

_ 6,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires

_ 23 000 emplois

_ 45 000 abandons annuels de chiens de +1 an dont 30 000 ne sont ni tatoués ni pucés

_ une demande annuelle de 900 000 chiots  (14% de race, 33% de type et 53% de croisés)

 

L’organisation de la gestion de l’espèce canine, s’inscrit dans un système juridique qui souligne la responsabilité de l’Etat, dans la bonne marche globale du système.

 

Le Ministère de l’Agriculture au fait de son rôle travaille à une valorisation de l’animal. Il repère, analyse, oriente et contrôle les dysfonctionnements qui s’attachent à l’activité humaine sous-tendue par le commerce animal. C’est une raison d’aller de l’avant, avec détermination sans nier la conjoncture économique. Ainsi, l’ordonnance du 13 octobre 2015 constitue une nouvelle donne, importante, que nous abordons avec confiance et, qui peut insuffler un nouvel élan à l’élevage canin français dés lors qu’une éthique aujourd’hui totalement absente est aussi introduite.

 

 

Une intégration du chien dans la société passe par le respect de ses besoins. Il nous parait souhaitable de mettre en place des mesures éthiques

  • Améliorant la condition canine en France en réduisant les souffrances programmées du chien
  • Ayant fait leurs preuves au niveau européen
  • Promouvant les textes législatifs et outils existant sans faire appel au budget de l’Etat
  • Faciles à mettre en place et enrichissant le regard de la société sur le chien, ses maîtres

 

Notre requête consiste

1) en l’introduction de notions éthiques universelles dans les statuts de la Société Centrale Canine et

2) la mise en application de mesures éthiques simples dans les pratiques d’élevage actuelles.

 

L’amélioration globale de la qualité des pratiques d’élevage ne sacrifie ni activités ni emplois, permettant à tous de s’aligner sur un objectif de base raisonnable. Dés lors, il s’agit d’un encadrement large appelé à être vécu comme une valorisation des acteurs de la filière : les éleveurs.

 

Il est désormais parfaitement acquis que  la qualité et la longévité de la relation entre le citoyen français et son chien ne sont pas uniquement liées au maître et à sa manière d’interagir avec son chien, mais dépendent étroitement de ce qui se passe en amont, dans les élevages.

 

D’où notre souhait d’impacter positivement l’ensemble de la population canine en s’appuyant sur des outils législatifs et techniques existant afin de protéger des millions de vies de pratiques cruelles et inéthiques.

 

La souffrance programmée n’a pas sa place dans une politique gouvernementale prônant le bien-être animal comme prioritaire.

 

Canis Ethica

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© Canis Ethica, Pour une éthique dans la relation Homme-Animal